Symphonie-Cantate pour solistes, choeur, piano et harmonium
Musique d'Alexandre Guilmant
Poésie de Charles Barthélémy
Enregistrement en public
réalisé lors du concert du 23 avril 2008
à Pornichet (Loire-Atlantique)
Solistes Instrumentistes
Marie-Françoise Moreau, soprano François Dupoux, harmonium
Bruno Guitteny, ténor (Mustel, 7 jeux, 1898)
Pascal Auffret, piano
Choeur "Voix de femmes"
Marie-Françoise Moreau, Anna Mokhfi, Ombeline Guetny
Anne Imbert-Reliquet, Cécilia Pauvert, Marie-Cecile Pauvert, Natacha Palance
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François Dupoux, harmonium
Pascal Auffret, piano
Marie-Françoise Moreau, soprano
Pascal Auffret, piano
François Dupoux, harmonium
Pascal Auffret, piano
Bruno Guitteny, ténor
Pascal Auffret, piano
Choeur "Voix de femmes",
François Dupoux, harmonium
Pascal Auffret, piano
François Dupoux, harmonium
Pascal Auffret, piano
Marie-Françoise Moreau, soprano
Bruno Guitteny, ténor
Pascal Auffret, piano
François Dupoux, harmonium
Pascal Auffret, piano
Symphonie-Cantate Ariane
L'harmonium français
Ariane est la sœur de Phèdre, fille du roi de Crète Minos et de Pasiphaé. Le héros Thésée avait quitté Athènes dans le but de tuer le Minotaure, monstre à tête de taureau et à corps humain, que le roi Minos tenait enfermé dans le labyrinthe. Ariane, amoureuse de Thésée, lui offrit son aide contre la promesse de l’emmener à Athènes. En dévidant une pelote de fil qu’Ariane lui a donné, Thésée pu retrouver son chemin après avoir tué le Minotaure. Il s’enfuit par la mer, emmenant Ariane avec lui. Mais en chemin, ils s’arrêtèrent sur l’île de Naxos. Thésée y abandonna Ariane (n° 2 Air d’Ariane), profitant de son sommeil pour quitter l’île (n° 3 Le Sommeil - adagio). Le dieu Dionysos (n° 4 Stances de l’Amour) la découvrit en larmes, la consola (n° 5 et n° 6 Chœur et Danse des Songes) et l’épousa. Elle gagna l’Olympe avec son époux divin (n° 7 Duo entre l’Amour et Ariane) et reçut l’immortalité (n° 8 Marche).
La Symphonie-Cantate Ariane est une œuvre puissante et lyrique inspirée de la mythologie grecque. La transcription pour soprano, ténor, chœur de femmes, piano et harmonium, que vous pouvez désormais entendre en intégralité sur notre site, a été publiée en 1890 et 1907. Cette œuvre, composée dans la deuxième moitié des années 1870 et au début 1880, reste inachevée, seuls huit numéros sur treize furent publiés. Musicalement très aboutie, elle témoigne des qualités exceptionnelles de compositeur d'Alexandre Guimant. Dans les années à venir, nous essaierons de mieux la faire connaître au travers de concerts et d'enregistrements.